Le constat est sans appel: il y a bien un marché de l'art contemporain à deux vitesses. Les éléphants prospèrent, les petites boutiques souffrent et, entre les deux, l'offre pléthorique des foires fait tourner les têtes. Pour contrer cette mécanique infernale, de nouvelles initiatives apparaissent. Désormais, il ne faut plus parler de galerie, mais de project-space, d'artists-run-space, de gallery-sharing ou de tiers-lieu. Lire la suite ici, p.62.
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